Etude de la crise

Un nouveau Krach d'ici 2014 ?

 

 

 

Un nouveau Krach d'ici 2014 ?

 

L'introduction à la Crise, à partir des variations des indices des diverses bourses, a été écrite au début de l'année 2010 pour mettre en évidence des aberrations de croissance ou de cycles de variations qui n'ont plus rien rien à voir avec l'économie réelle et concernent des sommes considérables associées à une spéculation qui génèrent des croissances régulières de bien plus de 20% sur l'ensemble de toutes les bourses sur plusieurs années comme de 1995 à 1999 sans aucune correspondance avec les performances de l'industrie. C'est une spéculation générée par une finance totalement virtuelle obtenue par des manipulations bancaires frauduleuses.

Bref, en analysant les variations du Dow Jones on voit bien se renouveler successivement une troisième manipulation spéculative à partir de 2009 qui dés février 2013 atteint la valeur de 14400 $  supérieure aux 14 000 $ qui fut le sommet de 2007 qui précéda la chute de 2008 et la crise dite des Supprime.  On peut donc en conclure un mauvais présage pour 2014 ? Un nouveau Krach !

 


Comme si ces variations pouvaient raisonnablement correspondre à quoique ce soit de normal. Le Big Bang de 1986 avec sa chute en 1987 ne se manifeste pas iciou si peu, et c'est bien Tatcher qui en est responsable. il a fallu un certain temps jusqu'en 1995 pour que le système financier exploite enfin cette déréglementation. Les fluctuations semblent encore raisonnables et la croissance régulière. A partir de 1995 et jusqu'en 2001 la croissance, mesurée par sa pente, devient 5 fois plus grande et sans commune mesure avec la réalité et donc c'est la conséquence d'un dérèglement par rapport au marché dû sans aucun doute à une spéculation 5 fois plus importante que le marché lui même. Cela provoque une bulle purement financière avec une production de fluidités virtuelles qui ne peut qu'exploser. Ce qui se produit en 2001. Mais, on se doit d'atténuer raisonnablement cette explosion pour en limiter la catastrophe en introduisant de nouvelles fluidités pour recapitaliser le système bancaire et lui permettre d'atterrir en douceur. Cette recapitalisation  est obtenue au détriment des consommateurs du marché, c'est à dire de la cassette des citoyens et de leur état.

On a donc amorcé une pompe à pognon qui transfert des liquidités du consommateur bon citoyen vers le spéculateur qui dispose au départ de capitaux pour pour jouer à la bourse. Elle fonctionne en deux temps une création de liquidité par les banques pour des placements spéculatifs à 90 jours et un renflouement des banques par les les états et leurs emprunts et on recommence n fois ....

Les plus riches s'engraissent pendant que les plus pauvres paient.

 

 

http://actu.orange.fr/le-talk/le-talk-orange-le-figaro-du-7-mars-interview-paul-quiles-lefigaro-interview_1393818.html

Vidéo

Paul Quilès    Ancien ministre de la Défense

prône "la relance" pour sortir du cercle vicieux.

 L'ex-ministre de la Défense, figure du mitterrandisme, critique ouvertement la ligne économique du président et du gouvernement.

 

Voilà un appui qui comblera d'aise l'aile gauche du PS dans sa croisade contre la "rigueur". Paul Quilès, 71 ans, ex-ministre de la Défense, figure du mitterrandisme et désormais maire d'une petite commune du Tarn, fait la leçon à François Hollande et Jean-Marc Ayrault. Invité du "Talk Orange-Le Figaro", il critique ouvertement les choix économiques et budgétaires du couple exécutif. Il estime que la seule issue pour sortir de la crise est de "faire une relance industrielle dans les domaines nouveaux". Allant plus loin dans la critique, il juge que "les moyens mis en ce moment (sur ces domaines nouveaux) sont assez homéopathiques par rapport à l'énormité de la tâche".

"La priorité en France en ce moment, contrairement à la petite musique que l'on entend, c'est bien de rompre avec une politique d'austérité qui entraîne un cercle vicieux. Ce n'est pas seulement moi qui le dis, mais un certain nombre d'économistes, y compris le FMI", argumente-t-il. "Au niveau européen, on a l'impression que les responsables ne comprennent pas ce cercle totalement vicieux?: la rigueur qui entraîne une baisse de croissance, qui entraîne une hausse du chômage, qui entraîne une baisse des recettes de l'État, qui entraîne une augmentation du déficit, une augmentation de la dette", ajoute l'ex-ministre, en évoquant à nouveau "un cercle vicieux complètement fou".

"Pour le mandat unique"

La solution ? La relance, donc, mais "pas n'importe comment". "En ce moment, en France, on a des taux d'emprunt extrêmement bas. Pourquoi, au niveau européen, ne décide-t-on pas de scinder en deux cette contribution à la dette ?", s'interroge l'ex-ministre, en suggérant de séparer les dépenses courantes des dépenses d'investissement. "Le 3 %, qui est un chiffre totalement théorique, serait alors un chiffre oublié", poursuit-il.

S'il rencontrait Hollande, Quilès aurait bien d'autres choses à lui dire. L'inflexion de la courbe du chômage fin 2013 promise en septembre par le président?? "Je faisais partie de tous les gens qui se demandaient s'il était bon de prendre des engagements de cette nature." Le non-cumul des mandats que le PS veut appliquer dès 2014, quand l'Élysée vise plutôt 2017 ? "Moi, j'étais pour l'appliquer depuis dix ans. (...) Je suis pour le mandat unique. Il ne faut pas jouer avec les engagements de cette nature."

S'il devait voir le président, Quilès lui parlerait sans doute aussi de dissuasion nucléaire, thème de son dernier livre, Arrêtez la bombe, paru fin février aux Éditions du Cherche Midi. "Contrairement à ce que l'on dit, ce n'est pas parce que la France dispose de l'arme nucléaire qu'elle va empêcher l'Iran et la Corée du Nord d'avoir aussi une arme", affirme l'ex-ministre en faisant valoir que beaucoup de responsables "disent qu'il faut désarmer progressivement". Quilès compte bien en convaincre Hollande. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




15/03/2013
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 2 autres membres