Etude de la crise

03-Alerte sur des mesures physiques à la portée de tous.

Créé le 5/4/2019

Ces mesures démontrent simplement que l'échauffement de l'atmosphère de +1°C durant les 20 dernières années est dû à l'énergie consommée.

C'est la conséquence directe de l'énergie primaire consommée par les hommes et leurs besoins de progrès en maintenant et exploitant une civilisation industrielle et ses besoins en énergie. Ceci est une conséquence du principe de Carnot et du rendement des machines fournissant un travail avec un rendement faible de 20%.

Oui, notre formation pluridisciplinaire et la valeur scientifique de nos établissements, qui actuellement ne s'engagent pas beaucoup nous permettent pourtant une étude et une démonstration scientifique de l'évolution de notre environnement et nous imposent au-delà des techniciens et des ingénieurs que nous formons d'être conscients de nos responsabilités et de savoir trouver les raisons et les solutions des problèmes que nous provoquons directement comme c'est actuellement le cas. En Physique le deuxième principe de la thermodynamique, que nous connaissons presque tous, avec ses pertes énergétiques inévitables de 80% du cycle de Carnot expliquent directement la cause de l'échauffement à partir de la dissipation d'énergie primaire de nos sociétés associée au progrès et au confort de l'humanité. La consommation annuelle mondiale d'énergie a atteint en 2012 la valeur de 13.700 Milliards de tonnes d'équivalent pétrole tpe qui avec un rendement de 80% environ représentent 10.000 Milliards soit 10¹³ tpe (ce sont des tonnes qui chacune en brûlant fournissent effectivement sur un année 1.10¹⁰ calories à notre Atmosphère habitable de volume évalué à 1,5 Milliard de Km³ (jusqu'à une altitude disons de 3Km). Ceci entraînerait alors un augmentation de température de l'atmosphère calculée de 1.000°C par an, soit 1.000 fois plus que le degré observé sur 20 ans et donc 20.000 fois plus important que ce qui se manifeste. L'atmosphère est un manteau de laine très mince qui se fracture régulièrement pour protéger la Terre contre un réchauffement par el-niño, les cyclones, les typhons... Si l'énergie est directement responsable du réchauffement, comme il apparaît nettement possible, il faut tenir compte des pertes de chaleur et du refroidissement de cette atmosphère par diffusion de la chaleur dans l'espace qui se traduit par un gradient (Fourrier) de température en fonction de l'altitude et qui correspond à une chute de température d'environ 10°C/km et de ses fractures .

Mais, le calcul simple précédent démontre que l'énergie dissipée par l'humanité sur une année est largement suffisante pour expliquer l'échauffement actuel de notre atmosphère qui est anormalement excessif et responsable du cercle infernal suivant Le cercle infernal :

Globalement on voit le cheminement suivant de nos progrès technologiques:

Production d'énergie --> 80% Dissipation --> Production de CO2 -->

Progrès du PIB Brut de 3% --> Progrès du pouvoir d'achat --> Capital

bien plus productif mais --> avec une productivité par-capita stagnante...

Ça n'est pas acceptable et seule l'humanité en est responsable.
Ce n'est plus viable. Mais le pire n'est pas la seule manifestation de la surconsommation d'énergie qui est cause de catastrophe, c'est aussi la surpopulation qui pose problème pour sa nutrition, et nous ne parlons pas des autres espèces vivantes qui pour certaines sont déjà en voie de disparition.

On est actuellement 7,5 Milliards d'humains sur la terre ce qui représente 5 habitants par hectare arable et cultivable et les terres arables diminuent régulièrement. On ne peut plus survivre avec une alimentation naturelle car il faudrait pour cela être vingt fois moins nombreux, c'est à dire 5 habitants pour 20 hectares arables. Si actuellement nous pouvons survivre c'est grâce à la nourriture et l'agriculture industrielles et à des rendements agricoles dix fois plus efficaces grâce à Mosanto !…. malheureusement on est sûr que l'on sera 10 Milliards d'habitants dans 30 ans et ce sera bien trop. Alors s'occuper sur les quelques années à venir du niveau de vie pose vraiment un problème …... S'il existe une porte de sortie simple ce serait de diminuer le progrès et la procréation.…... Ce n'est pas impossible , les chinois nous l'ont démontré depuis 50 ans !

Les 4 courbes suivantes concernent un même événement et sont quasiment la même courbe exponentielle y=exp(x) en bleu avec une croissance de 3% qui mesure leur progrès très régulier sur un siècle. Elles dépendent d'une même cause: 1 kg de C + O₂ →> CO₂ + 9 kWh d'énergie.

Cette croissance exponentielle caractérise aussi tous les phénomènes de physique quantiques e^i.F de la création, c'est la loi de l'évolution originelle de l'univers. 1

Il est normal de retrouver ci-dessous une même variation de consommation d'énergie et de Chaleur associée à la combustion de C.

Réchauffement mondial du dernier sciècle de -0,4°c à +0,5°c

Quantité CO2 dans l'atmosphère parties de CO2 par million en quantité

Productions d'énergie primaire et percapita mondiale

PIB mondial avec une progression annuelle de 3%.

C'est toujours la même courbe (en bleu) et TOUT est lié...! 2

Germaine Tillon entretien dans «l’Obs»

en octobre 2001.

"Au terme de mon parcours, je me rends compte combien l’homme est fragile et malléable. Rien n’est jamais acquis. Notre devoir de vigilance doit être absolu. Le mal peut revenir à tout moment, il couve partout et nous devons agir au moment où il est encore temps d’empêcher le pire. Souvent, la haine que se manifestent deux communautés, deux peuples, est un simple problème d’espace. Avec de grands espaces, les populations fraternisent. C’est dans la nature humaine de fraterniser. Mais si ces populations manquent soudain d’espace, elles s’entre-tuent. Le nouveau siècle est commencé et il me fait peur. Population croissante, espaces de plus en plus réduits, planète de plus en plus ébréchée, et l’homme qui prend seulement la mesure de ce qu’il n’existe pas de Terre de rechange."

C'est ce qui se passe, comme redouté par Germaine Tillon, ce qui probablement aboutit déjà à prévoir une catastrophe que l'on aura du mal à éviter surtout si l'on n'est pas convaincu de la situation réelle. On ressent cette situation critique inévitable qui se traduit par ce n'est plus viable...et donc... l'irrationnel prendra le dessus...

Le mur croît depuis l'an 2.000.

4 fois trop en 20 ans que la variation normale sur les derniers 2.000 ans

Depuis 20 ans on sort très nettement de l'ensemble des valeurs habituelles et à qui la faute ? Au progrés, sommes nous trop nombreux, que faire? -3

Loi de l'évolution et temps de relaxation.

"Dans un système isolé rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme dans le temps t avec un temps de relaxation t et un minimum d'énergie Q (et souvent d'Entropie S=Q/T ). On s'aperçoit que le temps t dans e^ia(x,t)q mesure une transformation de Structure S (Nash) optimisée par l'évolution de la nature avec une succéssion de temps de relaxation t dans un facteur exponentiel e^ia(x,t)q fondamental" qui prouve aussi ces 4 courbes exponetielles.

Les temps de relaxations dans e^iaq sont les temps de réponse qui corespondent aux changement d'états et sont connectés aux propriétés fondamentales suivantes:

[rappels: formule d'Einstein (E=m.c²) formule de Nash S ≥ (1/2)n.logt)]

On a là, la loi de toute l'évoltion de notre univers par-ce-que c'est un système isolé fini qui apparait il y a 13,8.10⁹ ans. C'est un nombre qui s'écrit avec 11 chiffres 13 800 000 000 et actuellement la mesure physique peut s'effectuer avec des précisions de 10^-12 au moins c'est à dire de 11 chiffres significatifs. On réunit donc depuis peu, l'an 2.000, les conditions nécessaires pour développer enfin en sciences les conditions nécessaires pour décrire complettement notre monde.

Une fois écartés les arguments fondamentaux il reste à développer la logique, les matématiques et la technique c'est à dire les procédures jusqu'aux formules numériques à appliquer pour pouvoir à partir de mesures vérifier nos connaissances sans ambiguité. L'élément de départ de toute la Physique, la Monade unique sera l'énergie totale utilisée dans l'équation du "Lagrangien" qui avec le photon nous permet de tout calculer et prévoir, pour le rendre universel. Pour cela on doit changer le signe du second membre du Lagrangien pour obtenir la formule unique et universelle permettant de résumer toute la physique de la mécanique classique à la mécanique quantique et à la théorie de Jauge sur les symétries. THÉORIE DES CHAMPS, Théories de jauge et description des ...

L'Encyclopédie Universalis introduit tout celà par: "Les premiers essais pour décrire les interactions nucléaires dans le cadre des théories quantiques des champs arguaient de la portée limitée des forces nucléaires comme une preuve que les champs échangés entre les protons et les neutrons d'un noyau atomique, par exemple, étaient quantifiés en des particules de masse intermédiaire entre celles des électrons et des protons ; ces mésons (en particulier le méson π), prédits par le physicien japonais Hideki Yukawa (1907-1981) en 1935, furent bien découverts dans les rayons cosmiques en 1947, mais on n'arriva pas à construire une théorie des champs cohérente à partir d'eux. Il fallut attendre les années 1967-1972 pour que le concept de symétrie de jauge permette de construire les théories modernes des interactions nucléaires fortes et faibles. Les théories de jauge reposent sur le théorème démontré en 1918 par la mathématicienne Emmy Noether (1882-1935), reliant l'existence d'une quantité conservée (symétrie) à l'invariance de la théorie par rapport à une transformation continue. En 1919, Hermann Weyl reconnaissait la conservation de la charge électrique comme la manifestation de l'invariance des lois physiques lorsqu'on fait agir certaines transformations abstraites sur les champs classiques. Dix ans plus tard, il appliqua ces idées dans le cadre de la physique quantique, en considérant la multiplication des fonctions d'ondes des électrons par une «phase» e^iaq où q est l'opérateur « charge électrique ». L'ensemble des multiplications par les facteurs e^iaq ayant la structure d'un groupe appelé U(1) par les mathématiciens, on parle d'invariance de jauge U(1). L'électrodynamique quantique peut alors se construire comme la théorie minimale qui soit invariante lors des multiplications des fonctions d'onde des électrons par une phase variable avec le point de l'espace-temps, c'est-à-dire par un facteur e^iaq . Si on doit résumer la compréhention de la connaissance actuelle à une seule page il faut s'arréter là, tout est dit sur la nécessité d'un multiplicateur exponentiel e^iaq ." FIN